LA Formation

« La Communication Non Violente engage à reconsidérer la façon dont nous nous exprimons et dont nous entendons l’autre. Les mots ne sont plus des réactions routinières et automatiques, mais deviennent des réponses réfléchies, émanant d’une prise de conscience de nos perceptions, de nos émotions et de nos désirs. […] Dans tout échange, nous sommes à l’écoute de nos besoins et de ceux de l’autre. La communication non violente aiguise notre sens de l’observation et nous incite à identifier les comportements et les situations qui nous touchent. Nous apprenons aussi à définir et à formuler clairement ce que nous souhaitons dans une situation donnée ».
Source : Livre de Marshall Rosenberg « Les mots sont des fenêtres (ou bien des murs) » (Edition la Découverte)

Ce module vous aide à prendre conscience de l’impact des mots, des intentions dites et non dites, de ce qui se joue dans toute communication.
A travers réflexions, échanges, mises en situation et jeux de rôles, chacun·e apprend à peser le poids des mots, des regards, des gestes, des postures.
Grâce à une communication repensée, vous redécouvrez l’autre, ses attentes, ses besoins sans oublier les vôtres évidemment.
Je vous transmets des techniques et des outils simples et efficaces qui vous aideront à rétablir un contact franc et respectueux de vous-mêmes comme de votre entourage.

Après la crise du COVID, il semble que les repères classiques se soient estompés. Nous constatons une crise de sens : les aspirations individuelles ne sont pas toujours compatibles avec les exigences du monde professionnel.
De plus en plus répandu, le burn-out est de moins en moins tabou, même s’il n’est pas toujours facile de l’évoquer.
Nous décryptons les signes précurseurs et réfléchissons aux moyens de s’en prémunir.
Ensemble, nous analysons votre situation : quelles sont les tâches de chacun·e, quels sont les modes de fonctionnement et de communication, quelle est la culture de l’entreprise ?
Je vous aide à (re)trouver votre boussole personnelle, à reprendre du plaisir à ce que vous faites, en modifiant si nécessaire les codes de travail, voire en pratiquant le job crafting !
En replaçant l’humain au centre de votre vie, je vous amène à découvrir les compétences qui sommeillent en vous : nous développons ensemble votre créativité, revoyons l’organisation de vos tâches et redonnons une juste place à vos émotions afin d’affirmer enfin ce que vous n’accepterez plus.
En abordant la thématique du burn-out, nous travaillions ensemble à l’alignement de vos pensées, de vos valeurs, de vos émotions et de vos actes.

Les conflits minent souvent les relations au travail : tout le monde est chargé de bonnes intentions mais les faits sont là : on n’arrive plus à collaborer et l’entreprise se retrouve en danger.
Avant toute chose, nous analysons la situation de vos équipes. Ensuite, j’adapte la formation et l’approche en fonction de vos besoins.
Les conflits naissent souvent d’une communication défaillante, d’un manque de clarté des tâches, d’une méconnaissance des divers profils qui peuvent constituer une équipe ou encore des objectifs fixés par les responsables. Nous mettons tout cela au clair et rédigeons ensemble, par un exemple, une charte de bonne collaboration.
Nous explicitons ce qui se joue souvent dans les relations humaines (les différentes manières de recevoir un message par exemple), nous définissons les besoins (comme le besoin de reconnaissance) et les limites de chacun·e, et apprenons à distinguer les faits des opinions et des ressentis.
Je vous propose également de nombreux outils pour apprendre à gérer les conflits, comme par exemple des techniques simples et efficaces pour mener un entretien délicat ; nous mettons évidemment tout cela en pratique si le cadre le permet.

D’où vient le stress ?
Nous stressons lorsque nous ressentons un danger : ce danger est-il réel ou est-ce ce juste une appréhension ?
Derrière le stress se cachent des compétences : la conscience professionnelle, le désir de bien faire…
Le stress est utile et vital, mais il doit rester sous contrôle et ne pas entraver nos actions.
Lors de cette formation, nous apprenons à le démasquer, à comprendre son fonctionnement et donc à le maîtriser. Nous comprenons progressivement notre manière de voir les choses et les filtres qui parfois influencent notre interprétation du monde.
Travailler son stress est une invitation à découvrir de nouvelles cartes du monde : la nôtre et celles des personnes qui nous entourent.
Après avoir identifié les sources du stress, nous travaillons sur celles-ci et faisons en sorte qu’elles se présentent le moins souvent possible.
Je propose également des exercices de relaxation qui permettent de se détendre en 3 secondes avant un événement nécessitant des ressources particulières (prise de parole en public, animation de réunions, etc).

Un proverbe africain dit : « Vous avez les montres, et nous avons le temps ».
Je crois que nous pouvons nous inspirer de cette sagesse pour revoir nos modes de fonctionnement !
Apprendre à gérer son temps permet de réguler son stress. Et le sens de l’organisation est un des premiers critères appréciés par les employeurs et recruteurs.
Or, avec le numérique, nous avons davantage tendance à zapper… L’attention est de plus en plus perturbée : mails, téléphone, réseaux sociaux, réunions hybrides, etc… Et le télétravail a également changé l’organisation de nos activités : le privé perturbe davantage la manière de nous structurer.
Alors, maîtrisez-vous l’art de planifier ? Comment distinguez-vous l’important de l’urgent et du nécessaire ? Êtes-vous monochrone ou polychrone ?
Savez-vous déléguer ? Comment le faites-vous ? Êtes-vous satisfait du résultat ?
Pour les managers, nous constatons une excroissance de l’information, appelée parfois « infobésité ». Comment faire alors pour éviter la saturation des cerveaux ? Cette surcharge entraîne une négligence des ressources humaines et cela est périlleux pour l’entreprise.
Lors de cette formation, nous analysons la manière dont vous organisez votre travail et voyons ce qui peut être amélioré. Je propose des outils qui permettent de gérer vos tâches et de les planifier.
Vous apprenez par exemple à poser des délais, à définir des pré-étapes et à mettre en place des signaux d’alerte.

Bruxelles est la 2ème ville la plus cosmopolite au monde.
 
On y trouve plus de 180 nationalités et on y parle une centaine de langues.
 
C’est également à Bruxelles que siège une grande partie des institutions européennes.
 
De plus, Bruxelles est également une ville culturelle qui attire de nombreux artistes belges et étrangers.

Enfin, ancien pays colonisateur, la Belgique présente quelques traits qu’il est important de connaître quand on vit à Bruxelles.
 
 Je vous propose aussi d’entamer une réflexion sur le thème de la citoyenneté belge, européenne et mondiale.

Il est aisé de comprendre qu’enseigner le Français Langue Etrangère à Bruxelles relève de quelques caractéristiques spécifiques. Ce module vous permettra d’englober cette réalité et d’adapter votre cours de FLE en fonction du profil de vos apprenants, au sein de ce contexte unique au monde.

Un bon professeur de langue est un prof qui ne parle pas.
On ne fait pas pousser une fleur en tirant dessus.
L’apprentissage se fait petit pas par petit pas, et on n’a pas tous les mêmes chaussures !
L’apprenant sera l’acteur de son apprentissage.

Voilà résumée en quelques aphorismes la philosophie qui sous-tend ma pratique de l’enseignement des langues étrangères.
Le premier cours permet de mettre en place un espace de communication respectueux, prenant en compte chaque individualité, sans oublier de fixer le cadre et les objectifs communs et individuels.
Dans cette formation, je vous mets en position d’apprenant dans une langue dont vous ne connaissez rien ! Nous analysons alors votre ressenti et dégageons les points à ne jamais oublier lors d’un premier cours.
J’attire également votre attention sur les divers profils qui peuvent constituer un groupe et qu’il est important de connaître si l’on veut être à l’aise avec les dynamiques de groupe.
Nous notons aussi ensemble ce qu’il faut éviter, à notre avis, à l’occasion de ce moment si important, si fondateur et fédérateur !
Enfin, je suis heureux de partager avec vous des exemples d’activités sympas et de brise-glace pour un 1er cours.

Au cours de ce module, je vous propose une formation rapide et efficace pour se lancer dans l’enseignement du Français Langue Etrangère.
 
Nous parlerons d’abord de l’histoire de la didactique du FLE, puis nous aborderons le Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues (CECRL) créé en 2001 et qui sert aujourd’hui de cadre pour établir les niveaux dans toutes les écoles de langue.
 
Nous évoquerons les variantes de FLE : français langue 2nde, français langue d’intégration, français langue orientée métiers, etc.
 
Nous approcherons les différents aspects d’une langue : grammaire, linguistique, morphologie, syntaxe phonétique, etc.
 
Nous réfléchirons ensemble aux thématiques de la correction et de l’évaluation, de l’interculturel et de la culture de la langue cible, comme de la langue d’origine.

Enfin, je serai heureux de partager avec vous quelques outils numériques actuels ainsi que des techniques dynamisantes que l’on peut utiliser dans les cours de FLE.

Aucune classe de FLE ne ressemble à une autre. La disparité des motivations et des situations sociales rend la tâche souvent très complexe !

Ce module vous propose une réflexion sur votre pratique du FLE à partir de vos expériences personnelles.

Nous débutons par une mise en scène qui vous met dans la peau de l’apprenant, afin de vous imprégner des difficultés que celui-ci peut rencontrer.

Puis nous passons en revue les enjeux de la communication et les divers profils de personnalité : trop souvent cet aspect du contexte d’apprentissage est tout simplement ignoré !

Nous réfléchissons ensuite à la posture du formateur : est-il un enseignant de type scolaire, un coach, un conseiller, un mentor ? Peut-il, doit-il changer d’attitude en fonction du contexte ? Nous nous arrêterons quelques instants sur ce que peuvent apporter les bagages d’un coach (la systémique, les neurosciences, la PNL…).

Nous échangerons sur les techniques originales et dynamisantes qui entretiennent ou redonnent une énergie positive à la classe. Et bien sûr, nous les mettrons en pratique.

Les richesses de l’interculturel sont aussi des éléments qui doivent nourrir une classe de FLE : partir du vécu de chacun est une garantie de réussite, tout en utilisant des supports qui entourent l’apprenant.

Enfin, il nous semble opportun que le formateur prenne en compte la dimension citoyenne de l’apprenant et l’amène à développer ou tout le moins à aborder cette dimension importante pour tout un chacun.